Les jours passent vite ! C’est du taff d’écrire un article par jour en fait ! ^^ Surtout que je cours un peu après le temps depuis le retour de vacances. Enfin je pars ce midi en week-end de yoga donc je coupe TOUT jusqu’à dimanche soir, voire lundi. Mode bulle de zénitude activé. 🙂

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REPROFIT m’a informé que « la stimulation ovarienne de votre donneuse se déroule selon les attentes et sans complications » et que le développement des embryons ainsi que la date exacte du transfert pourront être suivi via leur portail clients. J’ai aussi 1000 paperasses à imprimer et remplir dont l’accord « d’initier le traitement pendant la pandémie de virus Covid-19 » … Lucien a rendez-vous mardi à 8 heures 30 ! En recherchant un mail, je tombe sur une réponse du Docteur K. que je n’avais pas vue jusqu’alors : « Pas très bonne motilité et morphologie, la fragmentation marginale. » Hum respire Lucienne, ça va aller quand même !

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Ce matin réveil à 5 heures 45. Direction la prise de sang, puis le taff, puis Madame-Hope. Dix minutes avant l’ouverture du laboratoire, il y a déjà quatre personnes qui attendent pour des tests Covid-19. C’est un gros bordel, les gens doivent en fait revenir à partir de 9 heures, je vous laisse imaginer l’ambiance qui règne dans la salle d’attente. Je commence à comprendre pourquoi certains labo embauchent des vigiles ! Heureusement pour moi, c’est vite plié. Next step : l’échographie.

Entre-temps, je transfère l’argent à REPROFIT : avec la remise spéciale Madame-Hope et sans compter les options, ça ne coûte « que » 4 400€. Je bugge quand la coordinatrice me donne la somme. Vu que j’ai déjà versé 1 500€ en janvier, là il ne reste que 2 900€. Bon en complément on peut tabler sur -/+ 1 000 euros « d’options » avec le MACS, le PISCI, l’embryoscope et la / les congélation(s) éventuelle(s). Mais je trouve ça tellement dérisoire par rapport à tout ce que j’ai pu raquer pour La Muette et Madame-Hope !

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Avec les filles du forum et l’expérience de ex-Psychota, je comprends qu’un transfert le dimanche signifie : pas de coordinatrice et pas forcément de médecin qui parlent français. Ça m’embête un peu parce que j’aimerais bien être sûre de tout capter à ce moment … Et entre l’anglais et le stress (on ne va pas se mentir hein, suis pas sûre d’être méga détendue de la nouille dans une clinique où je joue mon avenir et où personne ne parle français) … En apprenant ça, Lucien propose de m’accompagner : ça tombe sur un week-end donc aucun souci pour le taff. Il faut juste gérer la garde de notre bébé lapin Danette ! ^^ Mais il se pourrait bien que je n’aille finalement pas toute seule en RT.